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L'extraordinaire voyage d'un superaliment ancestral, des rives de l'Amazonie au cœur de l'Europe - Découvrez comment un petit fruit violet est devenu l'un des trésors nutritionnels les plus recherchés au monde et a inspiré la création de LA ÇAÍ à Bruxelles.
Plongez dans l'histoire de l'açaí, un récit millénaire qui traverse les continents et les cultures. Cette histoire de l'açaí, riche et complexe, révèle comment un simple fruit amazonien est devenu un phénomène mondial de nutrition et de bien-être.
Explorer l'histoire de l'açaí, c'est remonter le temps jusqu'aux civilisations amazoniennes précoloniales. Cette histoire de l'açaí commence sur les terres fertiles du bassin amazonien, berceau de la biodiversité et des savoirs ancestraux.
Au cœur de la forêt amazonienne, là où la biodiversité atteint son apogée, pousse un palmier dont les tribus indigènes connaissent les secrets depuis des millénaires. Euterpe oleraceacommunément appelé palmier açaí, s'élève majestueusement jusqu'à 25 mètres de haut dans les forêts inondées du bassin amazonien.
Les petites baies violettes qu'il produit ne sont pas seulement un aliment pour les populations locales, elles représentent un pilier culturel et nutritionnel fondamental. Les tribus indigènes, notamment les Caboclos et les Ribeirinhos, récoltent ces fruits depuis plus de 2000 ans, bien avant que le monde occidental ne découvre leurs vertus.
"Pour les peuples d'Amazonie, L'açaí n'est pas qu'un alimentLa récolte, la préparation et la consommation de l'açaí s'accompagnent de rituels qui se transmettent de génération en génération. "La récolte, la préparation et la consommation de l'açaí s'accompagnent de rituels qui se transmettent de génération en génération."
Approfondir notre compréhension de l'histoire de l'açaí, c'est comprendre comment ce fruit est passé d'un aliment de subsistance à un symbole culturel. Traditionnellement, l'açaí était consommé sous forme de bouillie épaisse, mélangée à de la farine de manioc - un plat appelé "açaí na tigela" (açaí dans le bol). Cette préparation hautement énergétique permettait aux populations locales de survivre dans l'environnement exigeant de la forêt amazonienne. Les archives ethnographiques documentant l'histoire de l'açaí révèlent l'importance centrale de ce fruit dans la résilience des peuples indigènes.
Les archives historiques et les récits oraux révèlent que l'açaí constituait jusqu'à 42% de l'apport calorique total de certaines communautés riveraines. Sa richesse en lipides, en protéines et en antioxydants en faisait un aliment de survie idéal, en particulier pendant les périodes de pénurie.
Familles amazoniennes consomment en moyenne 60 litres d'açaí par mois, ce qui démontre l'importance cruciale de ce fruit dans leur régime alimentaire quotidien. Bien plus qu'un simple aliment, l'açaí est au centre des célébrations communautaires et des rassemblements sociaux qui rythment la vie du village.
Comme tout élément culturel important, l'açaí est enraciné dans un riche terreau de mythes et de légendes qui témoignent de la place privilégiée qu'il occupe dans l'imaginaire amazonien.
La légende la plus connue raconte l'histoire d'une tribu confrontée à une terrible famine. La fille du chef, Iaçá, pleurait toutes les nuits en entendant les enfants affamés. Un jour, elle eut une vision et découvrit un palmier majestueux chargé de petits fruits violets. Après avoir nourri sa tribu de ces baies miraculeuses, elle disparut. A sa place, on trouva un palmier chargé de fruits. Le chef nomma ce fruit "açaí" (Iaçá épelé à l'envers) en souvenir de sa fille.
Cette légende illustre parfaitement la relation symbiotique entre les peuples amazoniens et ce superaliment, considéré comme un don des dieux pour assurer la survie et la prospérité des communautés.
L'açaí n'est pas seulement un aliment, c'est aussi un vecteur de cohésion sociale. Pour les communautés amazoniennes, la récolte de l'açaí est une activité collective qui renforce les liens sociaux et maintient la transmission des connaissances traditionnelles.
"Les techniques d'escalade, de récolte et de préparation de l'açaí sont transmises de génération en génération", explique Paulo Ribeiro, cueilleur traditionnel d'açaí depuis plus de 40 ans. "C'est un savoir qui est partagé collectivement et qui unit nos communautés.
Aujourd'hui encore, dans les villages situés le long du fleuve Amazone, la saison de la récolte de l'açaí est synonyme de fêtes et de rassemblements. Les "açaízeiros" (cueilleurs d'açaí) sont respectés pour leur capacité à grimper aux palmiers sans équipement, en utilisant uniquement une technique traditionnelle appelée "peconha" - une boucle faite de feuilles de palmier que le grimpeur enroule autour de ses pieds pour monter sur le tronc.
L'histoire de l'açaí prend une dimension internationale à partir des années 1990. Ce chapitre fascinant de l'histoire de l'açaí illustre parfaitement comment un aliment traditionnel peut transcender ses frontières d'origine pour conquérir le monde, tout en préservant son essence culturelle. Les chercheurs qui étudient l'histoire de l'açaí y voient un cas d'école de mondialisation alimentaire réussie, où la valeur nutritionnelle et l'héritage culturel se renforcent mutuellement.
Un chapitre crucial de l'histoire de l'açaí s'ouvre avec sa découverte par le monde occidental. L'açaí est longtemps resté un secret bien gardé des communautés amazoniennes. Ce n'est qu'au début des années 1990 que ce superaliment a commencé à attirer l'attention du monde occidental, grâce à des chercheurs en nutrition fascinés par les habitudes alimentaires des populations indigènes. Cette rencontre interculturelle marque un tournant dans l'histoire de l'açaí, transformant profondément la trajectoire de ce fruit ancestral.
Le Dr Nicholas Perricone, dermatologue américain de renom, est souvent cité comme l'une des premières personnalités à avoir popularisé l'açaí aux États-Unis. En 2004, lors d'une apparition télévisée dans l'émission "The Oprah Winfrey Show", il a présenté l'açaí comme l'un des "10 super-aliments pour contrer le vieillissement", en soulignant sa richesse exceptionnelle en antioxydants.
Cette exposition médiatique marque un tournant décisif pour l'açaí, qui passe d'un aliment de subsistance amazonien à un produit recherché dans le monde entier pour ses extraordinaires propriétés nutritionnelles.
Pour bien comprendre l'histoire de l'açaí, il faut suivre son parcours géographique à travers les continents. L'engouement pour l'açaí s'est d'abord manifesté au Brésil, où des entrepreneurs visionnaires ont commencé à commercialiser ce fruit en dehors de son bassin amazonien d'origine. Dans les années 1980, l'açaí a conquis les grandes villes brésiliennes comme Rio de Janeiro, où il est rapidement devenu l'en-cas préféré des surfeurs pour sa capacité à fournir une énergie durable. Cette période marque un tournant crucial dans l'histoire de l'açaí, transformant un aliment régional en un phénomène national.
La véritable expansion internationale commence au début des années 2000, avec l'exportation des premières purées d'açaí surgelées vers les États-Unis. Entre 2000 et 2010, le volume des exportations d'açaí en provenance du Brésil a augmenté de plus de 500%, propulsé par un intérêt croissant pour les aliments fonctionnels et les super-aliments.
L'Europe découvre l'açaí plus tardivement, vers 2010, principalement via le marché des compléments alimentaires avant de voir fleurir les premiers bars à l'açaí dans les capitales européennes. Cette expansion s'accompagne de défis logistiques considérables : la baie d'açaí est extrêmement périssable et doit être transformée dans les 24 heures suivant la récolte.
Cette phase de l'histoire de l'açaí illustre une expansion commerciale sans précédent pour un superaliment. L'évolution du marché de l'açaí est remarquable tant par sa rapidité que par son ampleur. En 2010, le marché mondial de l'açaí était estimé à environ $200 millions. En 2023, il dépassera les $2 milliards et continuera à croître à un taux annuel de 12,5%. Suivre l'expansion économique dans l'histoire de l'açaí nous permet de comprendre comment un produit traditionnel peut devenir un acteur majeur de l'économie mondiale tout en préservant ses racines culturelles.
Cette croissance exponentielle s'explique par plusieurs facteurs convergents :
"L'açaí est un cas d'école de la mondialisation alimentaire", analyse Thomas Vernier, spécialiste des marchés agroalimentaires. "Peu d'aliments ont connu une trajectoire aussi fulgurante, passant d'un produit local inconnu à un aliment de base sain en moins de deux décennies."
L'essor international de l'açaí a profondément transformé l'économie de certaines régions amazoniennes. Dans l'État du Pará au Brésil, principal producteur mondial, l'açaí est passé d'une économie de subsistance à une industrie générant plus de $1,5 milliard d'euros par an et employant directement plus de 300 000 personnes.
Pour de nombreuses communautés riveraines, la commercialisation de l'açaí représente désormais la principale source de revenus, avec un impact économique qui dépasse de loin les activités traditionnelles telles que la pêche ou la culture du manioc.
Cette manne économique a cependant généré de nouveaux défis, notamment en termes de gestion durable des ressources et de préservation des méthodes traditionnelles face à l'industrialisation croissante du secteur.
Face à la mondialisation croissante, l'histoire de l'açaí se trouve à un carrefour critique. Comment préserver l'authenticité et la durabilité de ce fruit tout en répondant à la demande mondiale ? Cet aspect de l'histoire de l'açaí nous montre comment concilier le commerce international et le respect des écosystèmes locaux.
Malgré la croissance exponentielle de la demande, la majorité de l'açaí est encore récoltée selon des méthodes traditionnelles qui n'ont pratiquement pas changé depuis des siècles. Les "açaízeiros" grimpent aux palmiers à mains nues, selon la technique de la "peconha", pour atteindre les grappes de fruits qui poussent au sommet.
Cette méthode artisanale, bien que physiquement exigeante, présente des avantages considérables en termes de sélectivité et de préservation des palmiers. Les récolteurs expérimentés identifient précisément les grappes à maturité optimale et laissent les autres poursuivre leur développement, assurant ainsi la régénération naturelle des palmiers.
"La récolte traditionnelle est un art qui nécessite des années d'apprentissage", témoigne José da Silva, récolteur d'açaí depuis trois générations. "Nous savons exactement quand et comment cueillir pour préserver la santé du palmier et optimiser la qualité des fruits."
Le processus post-récolte reste également largement artisanal dans de nombreuses communautés : les fruits sont délicatement séparés des grappes, lavés dans l'eau de la rivière, puis transformés en pulpe le jour même à l'aide de techniques manuelles qui préservent l'intégrité nutritionnelle du fruit.
L'une des particularités remarquables de la production d'açaí est qu'elle ne nécessite pas de déforestation, bien au contraire. Les palmiers açaí poussent naturellement dans les zones humides et inondables de l'Amazonie, et leur exploitation durable encourage la préservation de ces écosystèmes fragiles.
Dans un contexte où l'Amazonie est menacée par la déforestation liée à l'élevage et aux monocultures, l'açaí représente un modèle économique alternatif qui valorise la forêt sur pied plutôt que les terres défrichées.
Des études menées par l'Institut brésilien de recherche agricole (EMBRAPA) montrent que les zones consacrées à l'exploitation durable de l'açaí présentent une biodiversité nettement plus élevée que les zones converties à d'autres utilisations agricoles. La culture de l'açaí encourage également le reboisement des zones dégradées, les producteurs plantant de nouveaux palmiers pour augmenter leur production.
La production d'açaí peut ainsi générer jusqu'à 5 fois plus de revenus par hectare que l'élevage bovin extensif, tout en préservant l'intégrité des écosystèmes forestiers - un exemple rare d'activité économique qui concilie rentabilité et conservation.
Tout au long de l'histoire de l'açaí, les communautés locales ont joué un rôle central mais souvent invisible. L'un des aspects les plus remarquables de l'histoire moderne de l'açaí est la reconnaissance croissante de ces acteurs essentiels. Les communautés amazoniennes ne sont pas de simples spectateurs de l'essor mondial de l'açaí, elles en sont des acteurs centraux. Dans l'État du Pará, épicentre de la production mondiale, plus de 120 000 familles tirent l'essentiel de leurs revenus de ce secteur. Ces gardiens de l'histoire ancestrale de l'açaí veillent à la préservation des pratiques traditionnelles tout en s'adaptant aux défis contemporains.
Les coopératives de producteurs comme la CAMTA (Coopérative Agricole Mixte de Tomé-Açu) ont révolutionné l'organisation du secteur en renforçant le pouvoir de négociation des petits producteurs face aux intermédiaires et aux exportateurs. Ces structures permettent également de mutualiser les investissements en équipements de transformation qui améliorent la qualité et la valeur ajoutée des produits.
La coopérative Sambazon, pionnière de l'exportation d'açaí vers les États-Unis, a établi dès 2003 un modèle d'approvisionnement direct avec les communautés locales, garantissant des prix justes et stables. Cette approche a inspiré de nombreux acteurs du secteur, contribuant à l'émergence d'une chaîne de valeur plus équitable.
Avec l'explosion de la demande mondiale, la question du partage équitable de la valeur est devenue centrale dans le secteur de l'açaí. Historiquement, comme pour de nombreux produits tropicaux, les producteurs locaux n'ont capté qu'une infime partie de la valeur finale du produit.
Les initiatives de commerce équitable, telles que la certification Fair for Life, ont progressivement rééquilibré cette répartition. Les produits certifiés garantissent un prix minimum aux producteurs, supérieur de 301 à 45% aux prix du marché conventionnel, ainsi que des primes d'investissement pour les projets communautaires.
"Le commerce équitable n'est pas seulement une question de prix plus élevé", souligne Helena Ferreira de l'ONG Imaflora. "C'est aussi l'accès à la formation, l'amélioration des conditions de travail et la possibilité pour les communautés de décider de leur propre développement."
Des entreprises pionnières comme Sambazon ou Açaí GmbH ont intégré ces principes au cœur de leur modèle économique, démontrant qu'il est possible de construire une chaîne de valeur rentable tout en valorisant équitablement le travail des producteurs locaux.
L'histoire de l'açaí s'enrichit d'un nouveau chapitre européen avec son implantation à Bruxelles. Cette étape de l'histoire de l'açaí démontre comment un superaliment ancestral peut s'intégrer harmonieusement dans une culture gastronomique radicalement différente, tout en préservant son authenticité.
Le chapitre bruxellois de l'histoire de l'açaí s'ouvre sur une rencontre décisive. L'aventure de LA ÇAÍ à Bruxelles commence par une rencontre fortuite entre son fondateur et l'açaí lors d'un voyage au Brésil en 2018. Fasciné par les qualités nutritionnelles et gustatives de ce superaliment, mais aussi par la riche histoire qui l'entoure, il décide de faire découvrir son authenticité aux Bruxellois. Ainsi, un nouveau chapitre s'ajoute à la grande histoire de l'açaí, créant un pont culturel entre l'Amazonie et l'Europe.
"Ce qui m'a frappé au Brésil, c'est à quel point l'açaí est ancré dans la culture et la vie quotidienne des gens", raconte le fondateur. "Je voulais créer plus qu'un simple bar à smoothies, un lieu qui transmettrait toute la richesse culturelle et nutritionnelle de ce fruit extraordinaire."
Après plus d'un an de recherches, de rencontres avec des producteurs amazoniens et d'expérimentations culinaires, LA ÇAÍ a ouvert ses portes en 2020 dans le centre historique de Bruxelles, avec la volonté de proposer l'açaí sous sa forme la plus authentique, dans le respect des traditions amazoniennes.
L'introduction d'un produit largement inconnu sur le marché belge n'a pas été sans obstacles. Le premier défi était d'ordre logistique : comment garantir un approvisionnement régulier en açaí de haute qualité, sachant que le fruit est extrêmement périssable ?
La solution a été trouvée dans un partenariat direct avec une coopérative de producteurs du Pará, permettant l'accès à la purée d'açaí surgelée biologique immédiatement après sa transformation - préservant ainsi toutes les qualités nutritionnelles et organoleptiques du fruit frais.
Le deuxième défi était d'ordre culturel : comment présenter et faire apprécier un aliment totalement nouveau pour la majorité des Belges ? LA ÇAÍ a misé sur l'éducation et l'expérience, en proposant des dégustations, des ateliers et en racontant l'histoire fascinante de l'açaí à travers sa communication.
"Nous avons compris qu'il fallait expliquer avant de vendre", explique le directeur marketing de LA ÇAÍ. "Chaque client qui franchit notre porte repart non seulement avec un produit délicieux, mais aussi avec une meilleure compréhension de ce qu'est l'açaí et des raisons pour lesquelles il est si spécial."
L'un des principes fondateurs de LA ÇAÍ a été de respecter scrupuleusement l'authenticité de l'açaí tout en l'adaptant subtilement aux préférences gustatives locales.
Les recettes brésiliennes traditionnelles ont été enrichies d'ingrédients locaux et saisonniers - framboises belges, spéculoos artisanaux, chocolat belge - créant ainsi une fusion culturelle respectueuse qui trouve un écho auprès des consommateurs bruxellois tout en préservant l'intégrité nutritionnelle et culturelle du produit.
Cette approche "glocale" a permis à LA ÇAÍ de se positionner non pas comme un concept importé artificiellement, mais comme une rencontre sincère entre deux riches traditions culinaires.
La collaboration avec des artisans et des producteurs locaux - tels que des boulangeries artisanales pour le granola ou des fermes biologiques pour les fruits frais - a également ancré LA ÇAÍ dans l'écosystème alimentaire bruxellois, créant un modèle de circuit court pour les ingrédients locaux et l'açaí lui-même.
En quelques années, LA ÇAÍ s'est imposée comme une référence incontournable de la scène gastronomique bruxelloise. Depuis son implantation initiale dans le centre historique, la marque s'est étendue avec quatre points de vente couvrant différents quartiers de la capitale belge.
Ce succès s'explique par plusieurs facteurs convergents :
Plus qu'une simple entreprise, LA ÇAÍ est devenue une ambassadrice culturelle, faisant découvrir aux Bruxellois non seulement un nouveau superaliment, mais aussi la richesse culturelle qui l'entoure.
L'histoire contemporaine de l'açaí s'articule autour de la notion de patrimoine partagé. Cette phase récente de l'histoire de l'açaí montre comment un produit alimentaire peut devenir un vecteur de valeurs, d'engagements et de transformations sociales positives.
Prolongeant l'histoire de l'açaí sur le territoire européen, LA ÇAÍ perpétue la dimension communautaire intrinsèque de ce superaliment. En quelques années, LA ÇAÍ a réussi à créer bien plus qu'une clientèle, une véritable communauté engagée autour des valeurs d'authenticité, de durabilité et de bien-être. Cette communauté s'exprime à travers des événements réguliers organisés par la marque : ateliers de nutrition, journées de découverte des super-aliments, rencontres avec des producteurs amazoniens en visite à Bruxelles, conférences thématiques sur l'histoire de l'açaí et ses implications contemporaines.
Les réseaux sociaux de LA ÇAÍ ne sont pas de simples vitrines commerciales, mais des plateformes d'échange où les membres partagent leurs propres créations, expériences et connaissances sur l'açaí et l'alimentation saine en général.
"Ce qui est fascinant avec LA ÇAÍ, c'est qu'ils ont réussi à créer un mouvement culturel autour d'un produit que la plupart des Belges ne connaissaient même pas il y a cinq ans", observe Julie Delvaux, spécialiste des tendances alimentaires à Bruxelles.
Cette communauté locale reflète à plus petite échelle ce qui s'est passé à l'échelle mondiale : l'açaí n'est plus seulement un produit exotique, mais le symbole d'un mode de vie et d'une conscience alimentaire renouvelée. La dimension éducative est essentielle : chaque client qui découvre la véritable histoire de l'açaí devient potentiellement un ambassadeur de cette tradition millénaire et des valeurs qu'elle incarne.
Fidèle à sa philosophie, LA ÇAÍ a développé des liens directs et durables avec les communautés productrices de l'Amazonie. Au-delà des relations commerciales équitables, l'entreprise a mis en place un programme de "retour à la source" qui consacre 2% de son chiffre d'affaires à des projets de développement dans les régions productrices.
Ces initiatives sont les suivantes
"Notre succès à Bruxelles n'aurait aucun sens s'il ne se traduisait pas par un impact positif là où tout commence, en Amazonie", affirme le fondateur de LA ÇAÍ. "Il ne s'agit pas de philanthropie, mais d'une vision circulaire de notre activité.
Ces initiatives sont documentées et partagées de manière transparente avec la communauté des clients, créant ainsi un lien tangible entre le consommateur bruxellois et le producteur amazonien.
L'aventure de LA ÇAÍ continue d'évoluer, avec de nouveaux projets qui élargissent l'impact positif de l'entreprise tout en restant fidèles à ses valeurs fondatrices.
Parmi les innovations récentes ou en cours :
Ces innovations s'inscrivent dans une vision globale qui considère chaque aspect de la chaîne de valeur - de la production à la consommation - comme une occasion d'avoir un impact positif.
La prochaine étape de l'histoire de l'açaí s'écrit aujourd'hui, grâce à une vision qui allie préservation et innovation. La vision à long terme de LA ÇAÍ dépasse largement le cadre d'une simple entreprise commerciale. Son ambition est de contribuer à la préservation du savoir traditionnel amazonien tout en le rendant accessible à un public mondial. L'histoire de l'açaí continue d'évoluer, portée par des acteurs engagés qui comprennent la valeur inestimable de ce patrimoine culturel et écologique.
"Lorsque vous dégustez un bol d'açaí chez nous, vous participez à quelque chose de plus grand", explique le fondateur. "Vous soutenez des méthodes agricoles qui préservent la forêt amazonienne, vous valorisez des savoirs traditionnels millénaires et vous découvrez une nouvelle façon de voir la nourriture - pas simplement comme une source de calories, mais comme un lien entre les humains et leur environnement."
Cette philosophie se traduit par un engagement continu dans la recherche et la documentation des pratiques traditionnelles liées à l'açaí, en collaboration avec des anthropologues et des communautés amazoniennes. Un projet de livre sur l'histoire de l'açaí est en préparation, rassemblant des témoignages, des photographies et des documents historiques afin de préserver ce patrimoine immatériel pour les générations futures.
LA ÇAÍ travaille également au développement d'un centre d'interprétation à Bruxelles qui permettra aux visiteurs d'explorer en profondeur l'univers culturel, historique et nutritionnel de l'açaí - une manière de transformer un simple lieu de consommation en un espace de transmission et d'échange culturel.
L'histoire de l'açaí, riche et complexe, nous rappelle l'importance des savoirs traditionnels dans notre monde globalisé. L'histoire de l'açaí, de ses origines amazoniennes à son arrivée à Bruxelles, est bien plus qu'une simple réussite commerciale. Elle illustre comment des traditions millénaires peuvent rencontrer le monde moderne dans un échange mutuellement bénéfique. Chaque étape de cette histoire de l'açaí témoigne d'une sagesse ancestrale qui trouve sa pertinence dans notre monde contemporain. Préserver et transmettre cette histoire de l'açaí devient alors un acte de résistance culturelle et de célébration de la diversité biologique et culturelle de notre planète.
Ce petit fruit violet a réussi l'exploit de relier des mondes apparemment très éloignés - les communautés riveraines de l'Amazonie et les consommateurs urbains européens - dans une relation qui, lorsqu'elle repose sur des bases équitables et respectueuses, peut être transformatrice pour tous.
Pour LA ÇAÍ, l'aventure ne fait que commencer. Chaque bol d'açaí servi à Bruxelles est à la fois un hommage aux traditions amazoniennes et une invitation à repenser notre relation à la nourriture et aux producteurs qui la rendent possible. En partageant l'histoire authentique de l'açaí, LA ÇAÍ contribue à une prise de conscience plus large de l'importance des savoirs traditionnels dans notre quête contemporaine de bien-être et de durabilité.
Comme le résume si bien José da Silva, un cueilleur d'açaí du Pará : "Pendant des siècles, l'açaí a été notre secret. Aujourd'hui, il est devenu un messager qui raconte notre histoire au monde entier. C'est une responsabilité, mais aussi une fierté de voir que ce que nos ancêtres ont toujours valorisé est désormais reconnu au niveau mondial. L'histoire de l'açaí n'appartient plus seulement à nous, elle appartient désormais au monde entier, qui peut à son tour l'enrichir tout en respectant ses racines."
Et vous ? Aviez-vous déjà entendu parler de l'histoire fascinante de l'açaí avant de lire cet article ? Partagez votre expérience de ce superaliment dans les commentaires !
Découvrez l'açaí sous sa forme la plus authentique à LA ÇAÍ Bruxelles. Nos bols sont préparés selon des méthodes traditionnelles, avec des ingrédients biologiques 100% et de l'açaí directement importé des coopératives amazoniennes.
À LA ÇAÍ, nous ne vendons pas simplement un produit, nous partageons une histoire millénaire de l'açaí, un héritage précieux que nous nous engageons à préserver et à faire découvrir aux Bruxellois. L'histoire de l'açaí continue de s'écrire chaque jour, et nous vous invitons à en faire partie.
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